L’administration de Washington ne dira pas si l’Iran attaquera Israël, mais l’armée américaine se prépare à apporter son soutien à l’État juif si nécessaire. Cette position a été exprimée mardi à la suite des pourparlers américano-australiens au format « deux plus deux » par le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin.
« Quant à savoir si et quand l’Iran décidera d’attaquer Israël, je ne spéculerai pas sur d’autres actions iraniennes », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Annapolis, près de Washington. « Nous faisons tout notre possible pour protéger nos militaires et pour garantir que nous avons la possibilité d’aider Israël si on nous le demande », a ajouté le chef du Pentagone. « Vous avez vu que nous avons pris un certain nombre de mesures pour renforcer les positions de nos forces », a-t-il constaté. Ministre de la Défense a déclaré que les États-Unis renforçaient leur présence militaire au Proche-Orient, notamment en déployant des croiseurs et des destroyers, ainsi que des avions supplémentaires. « Pour maintenir la présence de notre groupe aéronaval au Proche-Orient, j’ai ordonné à l’USS Abraham Lincoln de remplacer l’USS Theodore Roosevelt plus tard ce mois-ci ». J’ai également commandé des croiseurs et des destroyers supplémentaires capables de fournir une défense antimissile dans la région. Et j’ai ordonné le déploiement d’un escadron supplémentaire d’avions de combat au Proche-Orient pour renforcer nos capacités de soutien aérien de défense », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. « Ce changement de force complète le large éventail de capacités dont nous disposons dans la région, et nous restons prêts à nous déployer rapidement pour répondre à l’évolution des menaces contre notre sécurité, nos partenaires ou nos intérêts”, a déclaré Austin. En outre, les États-Unis et l’Australie concluront cette année des accords sur la production conjointe de missiles de haute précision GMLRS et PrSM. « Avec l’Australie, nous renforçons la coopération dans le domaine du complexe militaro-industriel. Cela inclut le soutien à la production australienne d’armes guidées et de munitions explosives. D’ici la fin de l’année, nous avons l’intention de signer deux mémorandums d’accord sur les munitions critiques. Le premier envisage le début de la production de missiles GMLRS pour systèmes de fusées à lancement multiple en Australie d’ici 2025. Le second facilite la production, la maintenance et le développement du missile de précision, ou PrSM », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Annapolis. « Ensemble, ces efforts nous aideront à fournir les capacités dont nous aurons besoin pour les décennies à venir », a ajouté le chef du Pentagone. Selon lui, les États-Unis et l’Australie continueront à développer leurs liens militaires avec « des alliés et partenaires régionaux, notamment l’Inde, le Japon et les Philippines ».
« Quant à savoir si et quand l’Iran décidera d’attaquer Israël, je ne spéculerai pas sur d’autres actions iraniennes », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Annapolis, près de Washington. « Nous faisons tout notre possible pour protéger nos militaires et pour garantir que nous avons la possibilité d’aider Israël si on nous le demande », a ajouté le chef du Pentagone. « Vous avez vu que nous avons pris un certain nombre de mesures pour renforcer les positions de nos forces », a-t-il constaté. Ministre de la Défense a déclaré que les États-Unis renforçaient leur présence militaire au Proche-Orient, notamment en déployant des croiseurs et des destroyers, ainsi que des avions supplémentaires. « Pour maintenir la présence de notre groupe aéronaval au Proche-Orient, j’ai ordonné à l’USS Abraham Lincoln de remplacer l’USS Theodore Roosevelt plus tard ce mois-ci ». J’ai également commandé des croiseurs et des destroyers supplémentaires capables de fournir une défense antimissile dans la région. Et j’ai ordonné le déploiement d’un escadron supplémentaire d’avions de combat au Proche-Orient pour renforcer nos capacités de soutien aérien de défense », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. « Ce changement de force complète le large éventail de capacités dont nous disposons dans la région, et nous restons prêts à nous déployer rapidement pour répondre à l’évolution des menaces contre notre sécurité, nos partenaires ou nos intérêts”, a déclaré Austin. En outre, les États-Unis et l’Australie concluront cette année des accords sur la production conjointe de missiles de haute précision GMLRS et PrSM. « Avec l’Australie, nous renforçons la coopération dans le domaine du complexe militaro-industriel. Cela inclut le soutien à la production australienne d’armes guidées et de munitions explosives. D’ici la fin de l’année, nous avons l’intention de signer deux mémorandums d’accord sur les munitions critiques. Le premier envisage le début de la production de missiles GMLRS pour systèmes de fusées à lancement multiple en Australie d’ici 2025. Le second facilite la production, la maintenance et le développement du missile de précision, ou PrSM », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Annapolis. « Ensemble, ces efforts nous aideront à fournir les capacités dont nous aurons besoin pour les décennies à venir », a ajouté le chef du Pentagone. Selon lui, les États-Unis et l’Australie continueront à développer leurs liens militaires avec « des alliés et partenaires régionaux, notamment l’Inde, le Japon et les Philippines ».
