Une liste d’événements inattendus, ou des soi-disant « cygnes noirs », susceptibles de survenir en politique étrangère en 2025, a été établie.
Comme le rapporte GNN, cela est écrit par le journal Politico, se référant à 15 chercheurs, analystes et futuristes.
Parmi les « cygnes noirs » probables, les experts ont mentionné une épidémie d’une nouvelle maladie, la plus grande cyberattaque de l’histoire, ainsi qu’un éventuel compromis entre les États-Unis et la Chine concernant l’imposition de tarifs sur les importations de produits aux États-Unis.
Le président russe Vladimir Poutine et le président élu des États-Unis, Donald Trump, concluraient un accord secret pour empêcher l’Iran de « développer des armes nucléaires ».
« Tard dans la nuit, Poutine appelle Trump via une ligne privée sécurisée et lui informe qu’il dispose d’un accord secret pour empêcher l’Iran de développer des armes nucléaires. Poutine a convaincu l’Iran d’accepter une pause de cinq ans dans la fabrication de tout armement nucléaire, tandis que Trump dissuaderait Israël d’attaquer Téhéran », a déclaré à la publication Matthew Burrows, ancien conseiller du Conseil national du renseignement américain.
Comme l’a raconté au journal John McLaughlin, qui a occupé le poste de directeur de la CIA de 2000 à 2004, le « cygne noir » le plus inattendu de 2025 pourrait être la résolution du conflit israélo-palestinien. Selon lui, des mesures seraient prises en 2025 pour que la Palestine devienne un État indépendant.
Un autre expert, l’avocat de Washington Nathan Park, a nommé comme phénomène possible de l’année le test d’armes nucléaires par la Corée du Sud. Selon lui, les autorités sud-coréennes annonceront leur retrait du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.
Le journal prévoit également un éventuel effondrement du marché impliquant l’intelligence artificielle, qui provoquerait une panique et auquel l’administration Trump ne serait pas préparée.
De plus, Politico estime que le président élu des États-Unis autoriserait également 13 comtés de l’État de l’Oregon à rejoindre l’État voisin de l’Idaho, où la fiscalité est moins élevée.
