L’équipe du président élu américain Donald Trump envisage de mener des négociations directes avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un.
Comme le transmet GNN, cela a été rapporté par Reuters en référence à leurs sources.
Selon l’équipe républicaine, une telle mesure pourrait réduire le risque de conflit armé. Comme le note l’agence, Trump n’a pas encore pris de décision définitive sur cette question.
Plus tôt, Kim Jong-un avait déclaré lors de l’ouverture d’une exposition d’armes à Pyongyang que les négociations avec les États-Unis à différents niveaux ne faisaient que montrer l’invariabilité de la politique hostile de Washington à l’égard de la RPDC.
Durant sa première présidence, Donald Trump a tenu plusieurs réunions avec son homologue nord-coréen. Leur deuxième sommet à Hanoï en 2019, qui portait sur la dénucléarisation de la péninsule, s’est terminé sans résultat.
Rappelons que le président élu des États-Unis, Donald Trump, a également annoncé une augmentation des droits d’importation sur les marchandises en provenance de Chine, ainsi que du Mexique et du Canada voisins.
Il signera un tel décret dès son premier jour en tant que chef de l’Etat, a-t-il annoncé lundi 25 novembre sur sa plateforme Truth Social.
Il a attribué ces mesures à la crise des opioïdes et à l’immigration clandestine. « Le 20 janvier, dans le cadre de l’un de mes nombreux premiers décrets, je signerai tous les documents nécessaires pour imposer un droit de douane de 25 % sur toutes les marchandises entrant aux États-Unis en provenance du Mexique et du Canada », a écrit Trump, appelant à « une ouverture ridicule des frontières ». Ces tarifs resteront en vigueur jusqu’à ce que cesse l’approvisionnement en drogues, notamment en fentanyl, via les pays voisins et les migrants illégaux cesseront également d’entrer, a indiqué le républicain.
Un taux de droit supplémentaire de 10 % sera imposé sur les produits chinois, a-t-il ajouté. Dans le même temps, il a accusé les autorités chinoises de ne pas agir suffisamment contre le trafic de drogue.
Selon Trump, il a soulevé cette question à plusieurs reprises lors de réunions avec des représentants des autorités chinoises, qui l’ont assuré de prendre des mesures strictes contre les « trafiquants de drogue », mais ne l’a pas fait.