Un article publié dans le quotidien The National souligne que l’Azerbaïdjan, riche en énergies fossiles, est confronté à la tâche difficile d’accueillir avec succès la 29e session de la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP29). L’auteur de l’article note que dans environ trois mois, Bakou rassemblera des représentants de près de 200 pays pour tenter de résoudre le problème du changement climatique.
Il estime qu’accueillir la COP n’est pas facile : “Les négociations pendant le sommet s’éternisent parfois jusque tard dans la nuit”.
Selon l’auteur, malgré le fait que l’organisation de l’événement dans un pays avec une riche histoire de production pétrolière ait été critiquée dans les médias occidentaux, les dirigeants du pays sont convaincus que la COP29 atteindra ses objectifs.
L’auteur note également que le pays a réalisé des progrès significatifs dans le domaine des sources d’énergie renouvelables, ce qui témoigne de la préparation de l’Azerbaïdjan à la transition verte. « À l’extérieur de la ville, dans les collines baignées de soleil, se trouve l’immense centrale solaire de Garadag.
Construite par Masdar, basée aux Émirats arabes unis, et inaugurée l’année dernière, cette centrale électrique de 230 mégawatts est le premier projet de ce type à l’échelle industrielle du pays. Il fournira de l’électricité à environ 110 000 foyers, a déclaré Masdar, et vise à réduire les émissions de 200 000 tonnes par an.